Carnet de voyage Inde : Thalassery (Kérala)


Samedi 2 Mars

Nous décidons de nous rendre à la mer. Sur la route, le marché au poisson attire notre attention, du poisson plus que frais vendu par les pêcheurs à peine de retour de leur matinée en mer. Certains veulent être pris en photo avec leurs plus belles prises afin de nous montrer le fruit de leur travail.
Enfin la mer d’Oman : sale, plaine de détritus. Nous observons des pêcheurs au fils, présent sur la jetée qui pèchent de la friture.

Malgré la chaleur écrasante, nous décidons de nous rendre à la plage à pied, et nous longeons la mer par de petites ruelles en quête d’un peu d’ombre. Des têtes de femmes apparaissent par les fenêtres ou des portes entrouvertes et nous observent. Nous échangeons quelques sourires et signes de la main.
La chaleur devenant difficile à supporter pour Jennyfer, nous prenons un tuc tuc afin d’accélérer le moment de la baignade. Ce fut une brillante idée car nous étions parties du mauvais coté ! 

Après 7 km nous découvrons avec plaisir une jolie plage déserte, immense et bordée de cocotiers.
Quel plaisir de tremper les pieds !

Petite baignade en tenue adaptée : t-shirt et paréo pour couvrir les jambes. L’eau est très chaude, à coté de nous un groupe de jeune d’indien se baigne au bord de l’eau. Ils sont habillés, les indiennes se baignent avec leur jolis robes et ressortent toutes mouillé et partent sans se changer, c’est normal pour elles !
Ils viennent d’un village situé à quelques kilomètres et m’abordent pour parler quelques instants  avant de repartir sur leurs motos.

             Nous décidons de retourner à la route pour prendre le bus. 20min de marche dans une végétation luxuriante, avec de jolies maisons colorées et bien entretenues. Après 10min d’attente au bus stop, le bus arrive comme une brute et continuera de la même façon les dix minutes suivantes qui nous emmène au centre, le chauffeur n’a pas l’air de savoir qu’il transporte des passégés ! Apres quelques rudes coups de freins, nous avons tous failli nous affaler par terre, mais personne ne bronche, quel résignation, quoi qu’il arrive, les indiens semblent être imperturbables.

Petite douche pour se dessabler et direction la gare, nous prendrons un train de nuit pour Alleppey (Alappuzha)

 Suite :  
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-         A venir !!

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